Contenus en rapport avec le mot-clé TVA sociale

Alors que le conclave réuni pour inventer une retraite équilibrée est en sursis, les partenaires sociaux cherchent à élargir la réflexion à l’ensemble de la protection sociale. Le Medef et la CFDT sont à la manœuvre.

La bataille de la droite remportée, François Fillon s'apprête à connaître de longs mois de campagne pendant lesquels il devra se défaire de certaines étiquettes qu'on lui a déjà assignées : anti-européen, destructeur du code du travail, de la sécurité sociale, du progrès sociétal...

Les annonces de largesses distribuées par le gouvernement à la fonction publique se succèdent depuis le début de l'année. Mardi 31 mai, c'était au tour des enseignants d'être récompensés d'un milliard d'euros d'ici à 2020 sous forme de primes.

Hollande court désespérément après ses points de popularité perdus et finit par toucher le fond : il en vient même à dire qu’il a eu tort de détricoter le projet de TVA sociale.

François Hollande a admis dans une interview donnée au journal Le Monde qu'il n'aurait pas dû supprimer la TVA, tout en précisant qu'il avait bien au début de son mandat "engagé des réformes qui ne sont pas toutes de gauche mais servent l’intérêt général".

Dans son pacte de solidarité, qui vise à rétablir la justice sociale, François Hollande s'inspire largement des aspirations de Nicolas Sarkozy concernant les cotisations sociales. Petit listing des réformes empruntées à l'ancien président.

Malgré la hausse de la TVA survenue au 1er janvier et l'inflation prévue en 2014, il existe encore des secteurs qui peuvent voir leurs prix chuter durant l'année.

Les demandes de report de la hausse de la TVA prévue au 1er janvier 2014 se multiplient, que ce soit de la part du parti communiste, d'Europe Ecologie-Les Verts ou de différents acteurs économiques (artisans, hôtellerie, restauration...).

Après avoir annulé en 2012 l'intronisation de la TVA voulue par Sarkozy, le président Hollande a finalement décidé de rehausser le taux de cet impôt de 19.6% à 20% pour 2014.

S'il faut trouver des solutions pour financer la protection sociale, Jean-Marc Ayrault envisage de plus en plus de recourir à une augmentation de la CSG, rappelant toutefois que ce ne serait qu'une piste parmi d'autres.

Le Premier ministre s'est rendu mercredi à l'université d'été du Medef. Il s'est adressé en particulier aux PME, pour lesquelles le gouvernement devra présenter un plan spécifique dans les semaines à venir.

Dans l’œil des marchés : Jean-Jacques Netter, vice-président de l'Institut des Libertés, dresse, chaque mardi, un panorama de ce qu'écrivent les analystes financiers et politiques les plus en vue du marché.

Après avoir déprogrammé la TVA sociale, le gouvernement socialiste semble avoir tracé la perspective d'une CSG sociale... Attention toutefois à ne pas affecter une hausse de celle-ci aux entreprises par un jeu comptable douteux.

La discussion sur la loi de finances rectificative devrait aboutir au vote de treize mesures, dont la majorité semble avoir été élaborée sans réflexion systémique sur le fonctionnement de l’économie.

Les députés ont toutefois abrogé la TVA sociale avant la suspension de séance vers 2 heures du matin.

Le Président de la République aurait bien voulu ce samedi rappeler qu'il fixe les grandes orientations politiques, mises en œuvre par le Premier ministre. Mais l'urgence de la situation -à commencer par le plan social annoncé par PSA- risque de l'obliger à mettre les mains dans le cambouis.

Mais seuls 36% d'entre eux estiment qu'elles auront des effets positifs.

Le Conseil des ministres a examiné mercredi le projet de loi de finances rectificative. Au total, 7,2 milliards d'euros de hausses d'impôts pour 2012 et 6,1 milliards pour 2013. Des mesures qui portent un coup au pouvoir d'achat et à la compétitivité des entreprises.

Nouveaux sujets abordés cette semaine par Serge Federbusch : l’affaire Trierweiler, les législatives, la défaite de Mélenchon, les choix de François Hollande face à la crise et la charte de déontologie du nouveau gouvernement.

Les deux candidats favoris de la présidentielle n'arrivent pas à convaincre avec leurs projets réciproques. Et bien que revendiquant chacun à leur manière l'héritage de François Mitterrand, ils s'adressent avant tout à leur électorat.